| Matou | | Administrateur | | 36 messages postés |
|  Posté le 06-12-2004 à 12:06:46   
| Jennifer Lopez
Actrice américaine
Née le 24 Juillet 1970 à Bronx, New York, USA.
Mariée deux fois, divorcée deux fois
Lui écrire :
Jennifer Lopez c/o UTA, 9560 Wilshire Boulevard, Beverly Hills,
California 90212, USA
En moins d'un an, Jennifer Lopez a gagné l'incroyable pari de devenir une star internationale, tant dans le milieu du cinéma que dans celui de la chanson. La « bomba latina », celle par qui le scandale arrive a poussé Sean Penn d'une falaise dans « U-Turn » (demi tour), séduit George Clooney dans un coffre de voiture dans « Out of Sight » (Loin des regards) et attiré Jack Nicholson dans son lit dans « Blood and Wine ». Aujourd'hui, c'est la terre entière qui s'affole pour ce volcan au regard de braise et aux courbes affriolantes. A 30 ans à peine, Jennifer fait tout exploser sur son passage. En une dizaine de films, elle est devenue l'actrice hispanophone la mieux payée d'hollywood, avec 6 millions par film. « Je veux être la meilleure! déclare-t-elle. Je vous promets que je vais battre tout le monde et je suis prête à faire de nombreux sacrifices pour y parvenir » Oui, vous l'aurez compris, Mlle Lopez possède une ambition sans bornes. Il faut dire que, rien que du côté de la chanson, Jennifer a écoulé en quelques mois plus de deux millions d'exemplaires de son premier album, « on the 6 » (titre faisant allusion au métro n°6 qu'elle prenait tous les matins à New york), classant ses tubes « if youhad my love » et « waiting for Tonight » en tête de toutes les listes....
Ambitieuse et fière de l'être, Jennifer Lopez peut savourer sa revanche sur un destin qui, au départ, ne l'avait guère favorisée. Née à Porto Rico, ses parents, David et Guadalupe, ont en effet dû quitter leurs ile très jeunes pour échapper à la misère et se sont installés à New York. Pas dans une luxueuse tour de Manhattan, mais plutôt dans un immeuble sordide du bronx, où vont naitre et grandir leurs trois filles. Dans ce quartier où la violence rythme le quotidien et où la rue tient souvent lieu d'école, Jennifer se rend vite compte qu'elle devra se battre pour s'en sortir. « C'est à ce moment là que j'ai compris qu'il fallait que je quitte cet enfer sans tarder, explique Jennifer. Avec beaucoup de travail et d'acharnement, j'y suis arrivée. » Entre nous, messieurs, nous devons bien l'admettre, Jennifer Lopez dispose d'un atout majeur : ses formes qui dès l'age de 11 ans, commencent à affoler les garçons du voisinage, ses premiers fans. « Maman me disait de m'habiller de façon moins sexy, parce qu'elle avait peur que je tombe enceinte », avoue la star qui à l'époque, n'hésite pas à voler en douce les chapelets de sa pieuse mère pour copier le look de son idole, Madonna. Depuis, ironie du sort, elles sont devenues les plus grandes rivales! Manipulatrice-née, Jennifer en rajoute sur le thème de l'arrogante arriviste, persuadée que ses propos seront repris partout. Les médias mordent à l'hameçon. En période « politiquement correcte », c'est un cadeau lorsqu'une star en devenir affiche un ego surdimensionné. Un exemple : « Mon avenir? Je le vois comme une belle ligne droite. Ma carrière est un chemin sans obstacle. Un jour, j'en suis sure, je gagnerai plus que Demi Moore. » Si Jennifer n'a pas encore rivalisé avec Demi, elle est cependant bien partie pour devenir l'une des stars incontournables de Hollywood.
Elevée dans un milieu très modeste, Jennifer Lopez a vraiment vécu pendant longtemps dans le dénuement : « Je me souviens que lorsque j'étais adolescente, je n'avais pas d'argent pour m'habiller, nous avoue-t-elle. Je confectionnais mes propres vêtements ». Devant affronter également le regard des autres à cause de la couleur de sa peau, Jennifer trouvait refuge dans la prière : « J'ai fréquenté pendant 12 ans une école catholique. Tous les soirs, je priais Dieu pour qu'il m'aide à sortir de là. La religion était en fait mon seul recours. » Adolescente, Jennifer Lopez fait ses débuts dans une troupe de danse, puis joue les potiches dans des soaps avant d'envisager une carrière d'avocate. « Mais ça n'aurait pas fonctionné, car j'ai un besoin vitall de m'exprimer par un côté créatif et artistique, confie-t-elle. Je me serais plutôt débrouillée pour être maquilleuse ou costumière dans le milieu cinématographique. » Grâce à ses talents de danseuse et chanteuse, Jennifer Lopez va cependant être rapidement remarquée au cours d'une audition avec des agents new-yorkais, qui lui donnent la possibilité, en 1986, de faire ses premiers pas de comédienne dans le film « My little girl ». « Je me souviens que j'ai payé les billets de cinéma à tous les gens de mon quartier, dit-elle, le sourire en coin. Ce jour-là a été une belle revanche sur mon passé! ». Un an après son premier rôle principal dans le film « Selena » (1997), où elle incarne la chanteuse mexicaine assassinée deux ans plus tôt par la présidente de son fan-club, Jennifer Lopez conquiert Hollywood grâce à son tandem de choc avec le seduisant Dr Ross de E.R dans « Out of sight ». « Je n'oublierai jamais la scène d'amour que j'ai tournée avec George Clooney, dit elle en soupirant. A mon avis, George est l'acteur qui embrasse le mieux à Hollywood. » Surnommée « la guitare » pour son corps dont les courbes ressemblent agréablement à cet instrument de musique, la belle brune est indéniablement devenue un véritable sex-symbol aux Etats-Unis. « Pour une actrice dont les médias disent qu'elle a de grosses fesses, je trouve que je ne me débrouille pas trop mal! ». déclare celle qui a été élue par le magazine américain People « l'une des 50 plus belles femmes au monde ». Depuis quelques mois, Jennifer Lopez est sollicitée par les producteurs hollywoodiens. Après avoir connu la pauvreté, la ravissante Latino-Américaine roule aujourd'hui en limousine et ne s'habille que chez les grands couturiers. « Je vis un véritable conte de fée, nous dit elle. Et j'espère que ça va durer! Je veux être comme Shirley Maclaine ou Bette Midler. Je veux être capable de tout faire : chanter, danser et jouer la comédie. »
Divorcée en 1998 d'avec l'acteur Ojani Noa après seulement un an de mariage, Jennifer Lopez vit présentement le grand amour avec le rappeur Sean « Puffy » Combs, qui a produit une partie de son album. « Aujourd'hui, je suis une femme comblée à la fois dans ma vie professionnelle et dans ma vie privée, souligne-t-elle. Mon rêve est de fonder une grande famille. » A Hollywood, on se demande néanmoins si Jennifer a été judicieuse en choisissant le rappeur comme comme l'élu de son coeur. Certes, il est l'un des artistes les plus riches du show-business puisce que, au cours de l'année dernière seulement, il a gagné la rondelette somme de 53 millions. Mais faut-il pour autant oublier ses multiples dérapages des derniers mois? Inculpé à de multiples reprises pour coups et blessures volontaires sur autrui, Sean « Puffy » Combs connait de sérieux problèmes avec la justice américaine depuis qu'il a été accusé d'avoir tiré plusieurs coups de feu dans un club de Manhattan le 27 décembre dernier. La carrière de l'actrice a bien failli basculer en un instant. Après cette terrible fusillade, Puffy a été arrété par les autorités américaines tandis que Jennifer passait la nuit à subir un interrogatoire dans un poste de police. « J'aime les mauvais garçons, affirme-t-elle avec provocation. Ils ont beaucoup plus de charme et de charisme que les mecs qui jouent les gentlemen ». Si elle a été relachée par la police, son rappeur se retrouve encore devant le juge. Selon des proches, la star a une nouvelle fois usé de son charme pour se soustraire aux policiers. Hollywood, consterné, doit de toute façon se rendre à l'évidence : son centre d'intérêt s'est déplacé.
Poitrines silliconées made in USA, prière de pointer ailleurs. Vive le popotin! Enfin, celui de Jennifer Lopez. Débats télé, articles dans les magazines du style People, site sur internet, jamais la cote d'une chute de reins de style Latino-Américain n'avait atteint de telle proportions depuis Rita Hayworth ou Raquel Welch. Loin de s'en offusquer, la pulpeuse vedette se déhanche de plaisir. « J'aime choquer! dit elle. Moi, au moins, je suis une fille qui n'a pas froid aux yeux. »
Récemment, elle a de nouveau défrayé la chronique après avoir porté, à l'occasion des Grammy Awards, une robe fort provocatrice signée Versace. Une apparition remarquée puisque la presse américaine continue d'en parler encore aujourd'hui. « Avec les mêmes vêtements que moi, toutes ces actrices anorexiques ressemblent à des cintres » replique Jennifer, si fière de ses généreux attributs qu'elle aurait fait assurer pour un milliard, affirme une rumeur tenace...et difficile à vérifier.
Message édité le 06-12-2004 à 12:09:37 par Matou |
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